Revue de Presse (du 3 au 9 novembre 2008)

Égypte: "L'un des fils de Ben Laden demande l'asile politique à l'Espagne" (Le Monde) - Un des dix-neuf fils du fondateur du réseau radical islamiste Al-Qaida, Oussama Ben Laden, a demandé, lundi 3 novembre, l'asile politique à l'Espagne à sa descente d'un avion en provenance du Caire, selon le journal espagnol El Pais de mardi.

Autriche/Mali: "Les otages autrichiens libérés au Mali" (Magharebia) -Deux otages autrichiens, qui étaient détenus depuis des mois par un groupe terroriste lié à Al Qaida, ont été relâchés jeudi. Les responsables maliens et autrichiens ont nié avoir payé une rançon qui ait permis la libération du couple de touristes.

États-Unis: "Afghanistan, Irak, Iran... Des défis d'une ampleur inédite attendent Obama" (edicom.ch) - Guerres en Irak et en Afghanistan, Pakistan instable, Iran menaçant... Barack Obama va hériter à la Maison Blanche d'une série de défis internationaux d'une ampleur inédite pour un nouveau président, qu'il compte gérer en se démarquant de son impopulaire prédécesseur.

Algérie: "Al-Qaïda au Maghreb Islamique défie le pouvoir. Elle diffuse une nouvelle vidéo menaçante" (Mediarabe.info) - Un site lié à la mouvance islamiste, a mis en ligne, le 4 novembre au matin, une vidéo de 39 minutes, datée du 23 octobre 2008. Cet enregistrement est inquiétant, surtout qu’il comprend des menaces directes proférées par le chef de la QJMI (ex-GSPC) Abou Messaab Abdelouadoud à l’encontre des Occidentaux.

Inde: "Terrorisme : pourquoi tant d'incompétence" (Courrier International) - Une série d'attentats meurtriers a frappé l'Etat d'Assam le 30 octobre dernier. Mais c'est toute l'Asie du Sud qui est confrontée au djihad. Et en Inde, l'incurie des autorités ne fait qu'aggraver la situation.

Terrorisme: "Un vidéaste d'al-Quaida condamné à vie" (Le Figaro) - Un Yéménite accusé d'avoir été proche d'Oussama ben Laden et d'avoir réalisé des vidéos de propagande pour Al-Qaïda a été condamné hier à la prison à vie, à Guantanamo, lors du deuxième procès militaire pour crimes de guerre organisé sur la base américaine.